Enchevêtrement de postures…
Connexions illimitées de fantasmes…
Les araignées déambulent, se chevauchent, se piétinent… envahissent notre regard méfiant.
Les pinces évoquent le souvenir archaïque de chevelures diaboliques, de créatures fantasmagoriques.
Comme des tenailles elles menacent nos certitudes.
Les vieilles angoisses plongées dans l’inconscient ressurgissent,
et des scénarios gigognes plus effrayants les uns que les autres envahissent le devant de la scène.
Les filtres de notre raison sont saturés.
Menace cannibale, phobie incontrôlable…
L’imaginaire est à rude épreuve.
Maja brachydactyla braque son regard insondable.